Retour au calme
Que d'agitation, que de déboire, où comment avoir de la chance dans mon malheur.
Voiture en panne. démarre plus. Dans saint-Benoit, posée devant le loueur de camion pour le déménagement qu'on vient de se faire toute la journée du mercredi. Je cours le soir après le travail (avec la voiture de ma futur coloc Gaelle) chercher une solution pour la mettre à un garage. Je me trompe de route. Demande à des gens posés sur le bord du chemin ou se trouve le garage machin car patati patata. Je repars à ma voiture. Et là, tombée du ciel, une dépanneuse s'arrête devant moi.
Bonjour monsieur... repatati patata....
"ok, suivez moi c'est bon". Il faut savoir qu'il est 16h30, est qu'à cette heure là c'est l'heure de fermeture des garages.
Et il faut savoir aussi que le lendemain je ne pouvais pas venir non plus car je travaillais jusqu'à 17h. Et c'était le WE, en plus. Donc, oui, j'ai de la chance, oh làlà.
Le dépanneur fait même réouvrir le garage pour mon auto. Et mon carnet de chèque aussi. Et bien oui je ne suis pas à plus de 50 km de chez moi. en même temps ici c'est pas facile d'être à plus de 50 km de son domicile, m'enfin, je passerai la dessus.
Ceci reglé, direction saint-denis pour aller chercher une machine à lave d'occasion. Qui fonctionne j'en suis sure la dame partait en métropole et a fait des lessives jusqu'à 1h avant que j'arrive. Trois étages à descendre. Par les escaliers, pffiou!
Le lendemain je baigne tout mon linge moisi qui trainait dans mes malle. Ca tourne... jusqu'à ce que les plombs sautent. roh non. Je pensais avoir au moins une chose qui fonctionne. Et non. J'ose meme plus toucher un grille-pain. Bref, c'est bien la machine à laver qui a cassé pendant le transport, du coup, téléphone, dépanneur, et carnet de chèque, ca commence à devenir une habitude.
En même temps, il faut ajouter l'emmenagement, le déballage des malles, la découverte d'objets moisis, d'odeurs grisâtres, toute la vaisselle à refaire, Gaelle à aller chercher à l'aeroport, le camping dans les chambres, enfin c'était chouette quand meme le week-end dernier :)
Mercredi, je récupère ma voiture. Ca y est fini le chauffeur personnel. Quel bonheur, je peux prendre la peine de flaner dans les petits chemins. Aller chercher mon rapport d'inspection (tiens, une autre histoire celle-là aussi), acheter des haricots verts, des carottes, et des patates.
Jusqu'à au lendemain midi. Où elle retombe en panne. Je crois que je suis vernie jusqu'au cou.
Cette fois-ci c'est la batterie.
On est lundi. Depuis samedi tout va bien. Je suis bien installée. Il fait beau. J'ai fait mon premier barbecue dans le jardin ce We avec le feu que j'ai allumé toute seule comme une grande sans allume-vite ni essence, et dans une semaine je suis en vacances!
La malchance, nan nan j'y crois pas.
Voiture en panne. démarre plus. Dans saint-Benoit, posée devant le loueur de camion pour le déménagement qu'on vient de se faire toute la journée du mercredi. Je cours le soir après le travail (avec la voiture de ma futur coloc Gaelle) chercher une solution pour la mettre à un garage. Je me trompe de route. Demande à des gens posés sur le bord du chemin ou se trouve le garage machin car patati patata. Je repars à ma voiture. Et là, tombée du ciel, une dépanneuse s'arrête devant moi.
Bonjour monsieur... repatati patata....
"ok, suivez moi c'est bon". Il faut savoir qu'il est 16h30, est qu'à cette heure là c'est l'heure de fermeture des garages.
Et il faut savoir aussi que le lendemain je ne pouvais pas venir non plus car je travaillais jusqu'à 17h. Et c'était le WE, en plus. Donc, oui, j'ai de la chance, oh làlà.
Le dépanneur fait même réouvrir le garage pour mon auto. Et mon carnet de chèque aussi. Et bien oui je ne suis pas à plus de 50 km de chez moi. en même temps ici c'est pas facile d'être à plus de 50 km de son domicile, m'enfin, je passerai la dessus.
Ceci reglé, direction saint-denis pour aller chercher une machine à lave d'occasion. Qui fonctionne j'en suis sure la dame partait en métropole et a fait des lessives jusqu'à 1h avant que j'arrive. Trois étages à descendre. Par les escaliers, pffiou!
Le lendemain je baigne tout mon linge moisi qui trainait dans mes malle. Ca tourne... jusqu'à ce que les plombs sautent. roh non. Je pensais avoir au moins une chose qui fonctionne. Et non. J'ose meme plus toucher un grille-pain. Bref, c'est bien la machine à laver qui a cassé pendant le transport, du coup, téléphone, dépanneur, et carnet de chèque, ca commence à devenir une habitude.
En même temps, il faut ajouter l'emmenagement, le déballage des malles, la découverte d'objets moisis, d'odeurs grisâtres, toute la vaisselle à refaire, Gaelle à aller chercher à l'aeroport, le camping dans les chambres, enfin c'était chouette quand meme le week-end dernier :)
Mercredi, je récupère ma voiture. Ca y est fini le chauffeur personnel. Quel bonheur, je peux prendre la peine de flaner dans les petits chemins. Aller chercher mon rapport d'inspection (tiens, une autre histoire celle-là aussi), acheter des haricots verts, des carottes, et des patates.
Jusqu'à au lendemain midi. Où elle retombe en panne. Je crois que je suis vernie jusqu'au cou.
Cette fois-ci c'est la batterie.
On est lundi. Depuis samedi tout va bien. Je suis bien installée. Il fait beau. J'ai fait mon premier barbecue dans le jardin ce We avec le feu que j'ai allumé toute seule comme une grande sans allume-vite ni essence, et dans une semaine je suis en vacances!
La malchance, nan nan j'y crois pas.